Tu semblante
Charleston
Tordu tour du monde
Dis Moi C'est Quand
International
Inùtil
Tout un pan de moi
Ce sourire est pour moi
Cher oubli
Longtemps
La ballade des gens qui sont nés quelque part
Des frontières aux pays
( ton visage ) S’emmêler Anyway Effleurer Tu semblante Essayer Démêler Sans rayer Tu semblante Tel est fait Envisager Sans délayer Tu semblante Comme elle est Comme ses traits De tu semblante Tel est mon souhait Se montrer étonné Tu semblante Tel est mon souhait.
Charleston :
Un charleston à deux où nos genoux seraient amoureux le tour du monde puisse nous faire vieux pour tout ça je reste un peu Pour essayer si je peux pour ne rien faire mais toujours mieux en profondeur et sans être hors-jeu pour tout ça je reste un peu Un entre-deux délicieux un entrechat silencieux et pour exagérer si je veux pour tout ça je reste un peu Un charleston à deux ou des claquettes en amoureux qu’un tour du monde puisse nous faire vieux pour tout ça je reste un peu.
Tordu Tour du Monde :
Tordu tour du monde Tout au long La question Drôle d’idée de n’avoir en chemin Qu’un point de chute incertain Qui es-tu ? Tournes-tu autour d’un monde étendu ? Je nous vois moribonds Il n’est pas exclu Autour d’un monde tordu Que le soleil n’existe plus. Je m’ennuie Je ne voyage ni ne partage plus Nous voilà dépourvus, solitaires, comme nus tour du monde Reviendrais-tu ? Nous serons à l’etroit La pièce est exigüe Mais il n’est pas de place Qui ne soit sans issue autour du monde Je le vois qui se sonde Serait-il entendu Que ce monde a besoin De mince et de ventru Tordu tour du monde Toute de soie la vision Quelle belle idée que de savoir être en voisin un pont de suites Un chemin.
Dis Moi c'est Quand :
Dis-moi c’est quand que ça commence Si ce que l’on tiens est une absence, un alibi Dis-moi aussi c’est quand que tu reviens ? Dis-moi c’est quand sans altérer ni sans gommer cette alternance Cette sensation d’appartenir à la réalité On se demande bien si ce jour viendra Où enfin on sera comme les autres au coeur de sa vie Dis-moi c’est quand que ça commence Si ce que l’on tient est une absence, un alibi. Dis-moi aussi c’est quand Que tu reviens ? Moi je ne vois qu’un amateur de la vie Un amateur qui recommence Avec mes amours, mes amitiés Tout ce qu’il faut pour être entier Je fais je fais J’essaie j’essaie De fait je suis un amateur de la vie Un amateur qui déborde de cette envie Car je la veux oui je la suis Oui je la veux car je la suis Dis-moi c’est quand que ça commence Si ce que l’on tiens est un absence, un alibi Dis-moi aussi c’est quand Que tu reviens ? Dis-moi comment Moi qui n’ai rien vu rien compris Et qui veux m’accuser D’être un vieux con simultané Un petit peu Comment dit-on ? Moi je voulais me retrouver Mais c’est pas si simple d’être emprunté Alors Dis-moi c’est quand que ça commence Si ce que l’in tient est une absence, un alibi Dis-moi aussi c’est quand Que tu reviens ?
International :
Au quotidien Pas En général International Comment réconcilier cet état ? Réponse On ne peut pas Camarades démocrates Je vous ai compris Nous sommes dispersés Les réformateurs se sont cachés Alors demain Quoi ? Je me signale International Comment voyager Vers tes bras ? Réponse Je ne peux pas Camarades démocrates Je vous ai compris Nous sommes dispersés Les réformateurs se sont cachés Derrière des forêts cosmopolites Moi ! Je me régale De l’internationale Comment vous dire qu’ici c’est étroit ? Réponse Ici c’est étroit Camarades démocrates Je vous ai compris Nous sommes dispersés Les réformateurs se sont cachés Derrière des arbres, des forêts Guddi tànk, gàtt tànk Gént, dem No viajo mucho Yo viajo un poco Sueño con salir Et je vous fais part Sueño con quedar Alors demain Quoi ? Je me signale International Comment voyager Vers tes bras ? Réponse Je ne peux pas Camarades démocrates Je vous ai compris Nous sommes dispersés Les réformateurs se sont cachés I understand yours wishes derrière des arbres, des forêts.
Inùtil :
Inùtil esperar Se hace viejo Inùtil pordiosear Nada vendra Inùtil este hombre El que no sabe Inùtil mi nombre Si no te lo acuerdas Inùtil ir de viaje Contigo siempre Inùtil mi nombre Si no te lo acuerdas Inùtil entornarse Al otro mundo Inùtil envidia Inùtil extancion Inùtil ahogar Mi sentimiento Inùtil se puede Leer lo en mi semblante Inùtil sabe Pero quietro Inùtil mi ojos Inùtil mi manos Anduve por la calle Sin encontrarme Perdido voy a delante Para buscarte Hé andado por la calle No encontrarte Perdido màs vale irse Que de matarse.
Tout un pan de moi :
Tout un pan de moi est descendu se voir sous terre quoi de plus ordinaire que de forger son caractère j’y ai beaucoup pensé retourné mes idées je gère mes sentiments bien ordonné mes volontés les plus chères ai retourné et mis en place le fond de la cale Pour un temps je crois pouvoir doser mon auxiliaire dis-moi où chercher pour sans souffler se mettre au vert j’y ai beaucoup pensé retourné mes idées je gère mes sentiments bien ordonné mes volontés les plus chères ai retourné et mis en place le fond de la cale Épuisés mes nerfs mon coeur mes yeux mes artères où puiser de l’air sous terre ou sous la mer j’y ai beaucoup pensé retourné mes idées je gère mes sentiments bien ordonné mes volontés les plus chères ai retourné et mis en place le fond de la cale Tout un pan de moi est descendu se voir sous terre quoi de plus ordinaire que de forger son caractère j’y ai beaucoup pensé retourné mes idées je gère mes sentiments bien ordonné mes volontés les plus chères ai retourné et mis en place le fond de la cale.
Ce sourire est pour moi :
Ce sourire est pour moi Celui-là aussi Ah celui-ci va là Le jour je m’approprie Ce que la nuit je revois Ce sourire est pour moi Celui-là me dit Que celui-ci s’en va Ah celui-là m’oublie Quand celui-ci me voit Le jour je m’approprie Ce que la nuit je revois Ce sourire est pour moi Celui-là m’indiffère Celui-ci dit pourquoi ? Ce sourire est pour moi Ah celui-là me dit me dit oui Quand celui-ci sans voix Ce sourire est pour moi Si celui-là s’ennuie Celui-ci est en joie Celui-là me fuit Quand celui-ci me tend les bras Le jour je m’approprie Ce que la nuit je t’envoie Ce sourire est pour moi Celui-là est en vie Celui-ci est pour toi Le jour je m’approprie Ce que la nuit je garde pour moi.
Longtemps :
Le plus beau des sourires depuis longtemps Contre un souffle un soupir mon argument ce mélange qui précipite est changeant je veux encore te le dire, longtemps continuer à t’écrire, souvent oh mon amour à venir est troublant toujours su comprendre qu’on pouvait essayer soulager les surcharges pour enfin s’alléger je veux encore te le dire, longtemps j’ai tout à offrir, souvent mon amour à venir est changeant toujours su comprendre qu’on pouvait essayer soulager les surcharges pour enfin.
Cher Oubli :
Un oubli veut me voir il faut savoir qu’un oubli peut y croire et ça n’en finit plus m’offre un verre souhaite me recevoir mais ce jour-là je n’ai pu me retenir Cher oubli pourriez vous sortoir De ma tête Je n’ai plus l’envie Certes je fus un peu malhonnête Mais je peux J’ai pas de place pour vous Dans mon être J’ai plus le temps Je ne sais plus comment Je ne sais plus pourquoi Mais bon Je vous ai laissé sur le côté C’est comme ça La vie c’est pas toujours comme on veut Alors s’il-vous-plaît Restez sur le bas côté Mais non cet oubli Tient à me voir Et ça n’en finit plus M’offre un autre verre Désire être reçu Mais ce jour-là Je n’ai pu me retenir Cher oubli pourriez vous sortoir De ma tête Reviendra t-il ? Au moment Où la vie vous dit bonsoir Mais ou la mort est en retard Cher oubli, bonsoir.
La ballade des gens qui sont nés quelque part :
C’est vrai qu’ils sont plaisants tous ces petits villages Tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités Avec leurs châteaux forts, leurs églises, leurs plages Ils n’ont qu’un seul point faible et c’est être habités Et c’est être habités par des gens qui regardent Le reste avec mépris du haut de leurs remparts La race des chauvins, des porteurs de cocardes Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part Maudits soient ces enfants de leur mère patrie Empalés une fois pour toutes sur leur clocher Qui vous montrent leurs tours leurs musées leur mairie Vous font voir du pays natal jusqu’à loucher Qu’ils sortent de Paris ou de Rome ou de Sète Ou du diable vauvert ou bien de Zanzibar Ou même de Montcuq il s’en flattent mazette Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part Le sable dans lequel douillettes leurs autruches Enfouissent la tête on trouve pas plus fin Quand à l’air qu’ils emploient pour gonfler leurs baudruches Leurs bulles de savon c’est du souffle divin Et petit à petit les voilà qui se montent Le cou jusqu’à penser que le crottin fait par Leurs chevaux même en bois rend jaloux tout le monde Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part C’est pas un lieu commun celui de leur connaissance Ils plaignent de tout cœur les petits malchanceux Les petits maladroits qui n’eurent pas la présence La présence d’esprit de voir le jour chez eux Quand sonne le tocsin sur leur bonheur précaire Contre les étrangers tous plus ou moins barbares Ils sortent de leur trou pour mourir à la guerre Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part Mon dieu qu’il ferait bon sur la terre des hommes Si on y rencontrait cette race incongrue Cette race importune et qui partout foisonne La race des gens du terroir des gens du cru Que la vie serait belle en toutes circonstances Si vous n’aviez tiré du néant tous ces jobards Preuve peut-être bien de votre inexistence Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Des Frontières aux pays :
À dire De l’eau dans le vin Des frontières aux pays Je passe pas le joint On dirait que des conneries À dire Ici tout va bien La démocratie Serait facile d’entretien On dirait que des conneries À dire Un danger certain S’il n’arrive aujourd’hui Plierait seul demain On dirait que des conneries À dire Un danger certain S’il n’arrive aujourd’hui Plierait seul demain On dirait que des conneries Et si on l’oubliait On ferait que des conneries À dire Sans souffle ou même appui Sans doute ni besoin Au pire je lui dis On dirait que des conneries À dire Ce qui est fait est dit Je traîne juste un peu le pied À faire ce que j’ai dit Que des conneries ? si on l’oubliait On ferait que des conneries D’ici je me souviens De roses, de rubis hmmm...
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